Yumikari Tsukiyo,[i] just a beatiful Dream in a Night lit from the Moon[/i]

Nom : Tsukiyo
Prénom : Yumikari
Surnom : Hikari ou Yume pour les plus intimes
Âge : 10
Élément : Elle maîtrise le Vent, bien qu'aucun élément ne prédomine vraiment son âme

Physique :
Des cheveux…
Des cheveux ? Non. De la soie. De la soie ? Pas tout à fait. Alors quelles sont ces choses qui descendent de sa tête ? Des cheveux doux comme de la soie. Oui, c’est ça. Yumikari a les cheveux blancs. Oui, vous voyez parfaitement ce que je veux dire. Des cheveux blancs, doux, très doux. Parfois, ses cheveux prennent des reflets bleutés, surtout sous la lumière de la Lune. Et les cheveux de Yumikari descendent jusqu’à ses mollets. Elle les laisse souvent détacher ou noués en une natte maintenue par un ruban blanc.

Un regard…
Un regard bien étrange, si vous voulez mon avis. Vide. Dénudé de toute émotion. De tout sentiment. De toute trace de douleur. Jamais une seule lueur vient allumer ce regard terne, sans vie, on pourrait croire. Jamais aucune lueur ? Si. Parfois, une lueur de détermination vient habiter ces yeux sans vie. Parfois, la lueur d’un rayon de lune vient également se refléter dans ces yeux vide, bleus, dénudés de pupille. Son regard s’explique peut-être par ce qu’elle a vécut…

Un nez…
Un nez. Que peut-on en dire ? Qu’il est fin, qu’il est gros ? Berfouille, y’a vraiment rien à dire sur le sien, à part peut-être qu’il est fin….

Un visage…
Yumikari a les traits fin. Oui, en fait, pour son âge, ses traits sont déjà développés... Très, même. Pour cela, on a tendance à lui dire qu’elle a douze ans, voir plus. Ca a le don de l’agacer, même si elle ne le laisse pas paraître. Sur son front, du dessus de son œil droit descendant jusqu’à mi-joue environ, un étrange dessin est dessiné. Un dessin fait avec du sang… Ca peut paraître étrange, et bien qu’on pourrait dire qu’il est fait avec de l’argile ou quelque chose comme ça, il est en réalité fait avec du sang. Un symbole marquant à jamais qu’une autre est là… Makkura. Sa peau, blanche, lui donne un air malade aux yeux de ceux qui ne la connaissent pas. Elle est en réalité en parfaite santé, presque tout le temps. Ses oreilles sont celles d'un loup.

Des bras…
Fins. Yumikari a des bras fins. Il ne faut en revanche pas se fier à cette apparence maigrichonne, car derrière se cache quelque chose d’inattendu. En effet, derrière ces bras fins se cachent des muscles. Et dans ces muscle, de la force. Beaucoup de force. Surtout pour une fillette de dix ans. Cette force en a déjà surprit plus d’un. Les doigts de Yumikari sont longs, et dépassent facilement la longueur de sa paume.

Un corps…
Yumikari est de corpulence fine, bien qu’elle soit assez grande. Malgré son jeune âge, ses courbes féminines commencent à apparaître. Sa poitrine commence déjà à se développer, malgré ce qu’on pourrait croire en la comparant aux autres filles de son âge. Elle possède une queue de loup.

Des jambes…
Les jambes de Yumikari sont musclées, plus qu’elles ne le laissent paraître. De ce fait, elle est endurante à la course, ainsi qu’en général d’ailleurs. Elle est d’ailleurs taillé pour la vitesse, semble-t-il.

Des vêtements…
Yumikari porte toujours des vêtements blancs, amples. Que dire d’autre sur sa tenue vestimentaire ? Ah, oui. Lorsqu’elle part en mission, elle porte des vêtements moulants, afin de ne pas rester accroché sur un pic ou quelque chose dans le genre.

Une deuxième Yumikari, Makkura…
Makkura a les cheveux de jais, de la même longueur que ceux de Yumikari. Normal, d’ailleurs Rolling Eyes

. Ses yeux sont rouges, vides d’émotions eux aussi. Sa peau, aussi blanche que celle de Yumikari, est bien mise en évidence par ses cheveux de jais. Elle se vêtit de noire. Lors d’un changement de personnalité, les habits de Yumikari deviennent noirs, et inversement.
Les deux ont la même aura ténébreuse.
Qualités : Gentille, douce, rapide, endurante....
Défauts : Têtue, rebelle, sans pitié, méchante, bagareuse...
Caractère :
Un caractère… Quelle est donc cette chose absurde que vous nommez caractère ? Peut-on, par de simples mots, décrire le jour et la nuit ? Je ne crois pas. Ce serait comme décrire le blanc et le noir en un mot. C’est impossible. Quoi que… J’ai compris vos regards, pas la peine de dire quelque chose. Je vais essayer. 20

Un Jour… Ou une Nuit. Tout dépend du point de vue. Yumikari.
Yumikari. Est douce. Incapable de blesser quelqu’un, en soi. Il ne faut cependant pas croire qu’elle va se laisser faire. Si quelqu’un l’attaque, elle n’hésitera pas à riposter. Elle est stoïque devant tout… Ou presque. C'est-à-dire qu’elle se fiche un peu de ce qui peut lui arriver ou de ce qui arrive autour d’elle. Elle est une observatrice née, c'est-à-dire qu’elle retient à peu près tout ce qu’elle entend et voit, et, avant de se lancer dans quelque chose, par exemple un combat, elle va d’abord observer son adversaire, et sa tactique. De son regard vide, elle va chercher toutes les failles possibles avant de frapper… Sauf qu’elle n’est pas du genre violente, et si elle est engagée dans un combat, elle préférera juste esquiver, ou alors mettre à terre le plus rapidement possible en faisant le moins de dégâts possibles. Yumikari accepte les choses telles qu’elles sont. Elle ne va donc pas chercher à juger quelque chose. Si elle a mal quelque part, peut importe à quel point, elle va accepter sa douleur, et ne poussera pas le plus petit des gémissements. Si elle fait fasse à un danger, alors elle ne se montrera pas plus prudente, elle acceptera tout simplement les risque, et ne renoncera pas. Il est en revanche assez difficile de faire obéir Yumikari, et il ne faut pas compter à ce qu’elle se laisse faire si on la regarde trop… Enfin, voilà, quoi ^_^ Même si elle est stoïque, elle n’en ai pas sans cœur. En effet, si quelqu’un a besoin d’aide, quoi que ça dépend qui, elle ira l’aider. Ca ne la dérange pas de prendre des coups à la place de quelqu’un. Elle ne sait pas haïr. Yumikari ne sait pas en vouloir à quelqu’un pour quelque chose. L’aura ténébreuse de Yumikari en trompe beaucoup sur sa véritable nature. Lorsqu’elle a une idée en tête, il est quasiment impossible de la lui faire sortir de tête. Plus têtue, tu meurs ! Elle peut se montrer sarcastique.

Une Nuit… Ou un Jour. Cela dépend. Makkura.
Cruelle, rebelle, sanguinaire, bagarreuse, sans pitié, têtue, se lance avant de réfléchir, orgueilleuse, avare, ambitieuse… Nan mais vous l’avez cru ? Contrairement à ce qu’on peut penser, Makkura a tout de même une étincelle de bon sens… Toute petite… Vous ne la voyez pas ? Chercher encore… Encore un peu… Juste un tout petit peu… Vraiment ? Vous ne la voyez pas ? Eh bien,., vous avez totalement raison !! En effet, Makkura est têtue, aussi têtue que Yumikari d’ailleurs. Makkura peut aussi se montrer orgueilleuse, mais n’est pas du tout avare. Elle se contrefiche de l’argent, et est toujours lancée dans une nouvelle bataille. Ou dans une nouvelle bagarre. A ma connaissance, tous sont ressortit de ces nombreuses bagarres avec une ou deux dents en moins. Il faut dure qu’elle semble vivre pour combattre… Mais ce n’est pas tout à fait ça. Car Makkura ne sort que lorsque Yumikari est en « danger »… Oui, vous m’avez comprit, si Yumikari n’est pas en mesure de se défendre toute seule ou qu’elle ne veut pas se défendre, elle prend le contrôle et s’assure que celui qui a osé toucher à Yumikari ne l’approches plus. Makkura est également cruelle, oui, car même ceux qui ne font que ricaner lorsqu’elle est là subissent le même sort, qu’ils aient fait quelque chose ou non. Un bon sens ? Elle n’en fait pas preuve… De la gentillesse, peut-être envers Yumikari, et encore, qui sait… Elle lance sans arrêt de sarcasmes qui pourtant définissent la plus part du temps très bien la situation. Bien qu’elle paraisse irréfléchie, il ne lui faut pas plus d’une fraction de seconde pour prendre une décision…. Que dire d’autre, si non ?....

Histoire : Je la fait sur un autre post, comme ça j'aurais pas le soucis de savoir combien de place il me reste ^^
Pouvoirs contrôlés : Elle sait parler au vent, mais ce n'est pas vraiment un pouvoir. Elle peut créé une brume de dissimulation et parler à distence
Autres choses sur votre personnage : Voyons voir... Je sais pas x)

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Section Hors-jeux

Niveau de Rp : Ca dépend mon humeur et mon inspi', je tourne généralement vers les 10-15 lignes quand je répond rapidement
Niveau de présence : 7/7 si tout va bien
Autre : Code exact, Iliezabell

Je suis désolé, mais puisque tu est élève tu n'as droit qu'à une ou deux magie du niveau un... dsl

Si mon histoire vous convient pas, j'vous manger Twisted Evil

*vient de passer une heure dessus*
Voici déja la première partie

Tout commence un jour. Tout finit un autre de ces jours. Voilà le Début de la Fin.

Just a wolf’s life

Dans une petite clairière, une louve est là, mettant bas à un unique louveteau blanc… Moi. Oui, je suis née louve. Et je suis fière de l’être. Avec ma Meute, j’ai vécut heureuse durant quelques lunes… Avant que les Humains incendient notre forêt. Je fus la seule survivante. Hmmm… Comment j’ai survécus ? Ma mère m’a lancée dans une rivière avant que les flammes ne nous séparent… J’ai dû attendre une averse longtemps, trop longtemps, si bien que lorsque l’averse eut éteint l’incendie, la forêt n’était plus que cendre. J’ai cherché longtemps durant ma mère, en vain. Puis, je compris qu’elle était morte. Au fond de moi, je le savais. Non. Je l’ai toujours su. J’ai simplement refusé de l’admettre. A l’époque, je n’avais encore que quelques mois… Et j’ai appris à haïr ceux qui étaient responsables de tout ça. Finalement, ce qui allait m’arriver sans que je le sache, c’est bien une ironie du sort ! Je vous raconterais plus tard, car là n’est pas encore le moment de relater ce passage de ma vie…

Enfin bref. Me voilà, errante, moi, louve blanche âgée de cinq lunes à peine, mois, chez les humains. Mais un murmure persistant me parvenait sur cette plaine désolée où j’avais du mal à me nourrir. Je ne savais d’abord pas ce que c’était. Puis, une voix me parvint, un jour.

*Jeune louve..*
- Qui…. Qui es-tu ?
*Tu m’entends enfin… Peu importe qui je suis. Suis mon murmure, je te conduirais vers un chemin meilleur que celui qui t’attends. N’oublie pas.*
- Eh !! Attends ! NE pars pas !! Que veux-tu dire par là ?
*On se reverra… Bien plus tôt que tu ne peux le penser… Cependant, ce n’ai pas pour tout de suite… Bon vent, jeune louve !*

La voix s’estompa. Je la cherchai de nouveau. Rien ne me parvint. Cependant, il me semblait qu’un murmure était présent. Je suivis ce murmure. Comme la voix me l’avait dit. Et ouis un jour, je tombai sur un groupe de loup. Une louve rousse était à leur tête. Ce groupe était constituée d’une louve rousse, un loup roux, une louve blanche, une autre grise, et une dernière noire. Ils m’ont accepter tel que je suis, avec mes défauts, mes qualités, ma haine envers ceux qui sont responsable de la mort de ma Meute. Ma Meute d’accueil était très gentille avec moi, très compréhensif. Je leur en suis reconnaissant. Grâce à eux, j’ai appris à me débrouiller seule. Nous voyageons vers un but… Quel était ce but, déjà ? Je ne sais pas. Impossible de m’en rappeler. En tout cas est-il que, parfois, malgré la distance, j’arrivais à parler avec ma nouvelle Meute. Sans hurler. Et aussi, lorsqu’un combat se préparait, une brume nous a souvent entourer, nous cachant ainsi aux yeux de nos adversaires. Je n’ai jamais compris pour quoi. Et ensemble, rien ne semblait pouvoir nous arrêter. Nous étions heureux, errants, sans plus rien à perdre. Alors nous n’avions pas de regret. Errants. A jamais. Mais heureux. Et sans regrets. Juste une soif de liberté grandissant chaque instant en nous. Juste une Utopie nous guidant vers cette chose, ce lieux qui nous cherchions. Quand je disais que nous n’avions rien à perdre… C’est tout simplement faux. Et c’est là que commence réellement ce que je peux appeler mon histoire. Et elle est courte. Très courte. Et pourtant. Désormais, je n’ai plus rien à perdre. Plus rien du tout. Un groupe de chasseur tomba un jour sur nous. Notre premier réflexe fut d’éviter le combat. Cependant, la louve grise de mon groupe tomba. Et on a changé de plan. N’ayant alors que dix-huit lunes, je ne pouvais pas faire grand-chose pour les aider, mais j’ai quand même foncé. Avec la force de mon désespoir. Et on s’est mit à tuer ces humains qui avaient tué notre compagnon. ET je vis mes compagnons tomber un à un. Il ne restait plus qu’un humain devant moi, lorsque mon dernier compagnon, ma meneuse, à vrai dire, tomba. Je sautai à la gorge. Et ce fut radical. Je lui arrachai la tête du reste du corps. Il était mort avant même d’avoir put faire le moindre geste. Et je me remis à errer, pleurant, ou plutôt chantant toutes les larmes de mon corps. Des larmes qui m’étaient venu dès que le premier de mes compagnons était tombé, mort. Evidemment, je ne pouvais laisser le corps de mes compagnons aux rapaces. Alors je les ai enterrés. Où ? Je ne sais pas. Mais cet endroit, je l’ai à jamais marqué de mes empruntes. J’ai laissé cinq empruntes dans le sol. Et une un peu plus en retrait. Des marques marquant à jamais le sol de notre Meute. Ainsi, tous ceux qui entendront la Lune chanté, le vent chanté, notre voyage, à cet endroit, connaîtront notre histoire.

Pour comprendre un peu mieux, z'allez devoir attendre la deuxième partie Twisted Evil

Seulement, la vie est cruelle. Seulement, la vie est ironique. C’est pour cela que ça m’est arrivé. De toute façon, ça n’arrive qu’à moi, ce genre de chose.

Just a Dream.

Désormais, je suis une jeune louve adulte, et mon pelage est toujours d’un blanc immaculé. J’ai trente-six lunes. Et cela fait maintenant dix-huit lunes que c’est arrivé. Ca me paraît… Si proche, et c’est pourtant si lointain ! La douleur ne s’est toujours pas estompée… Je erre toujours, cette fois-ci sans but, ayant perdu mon but avec ma Meute. Oui, aller là où on allait, je ne sais plus c’est quoi, ce lieux, d’ailleurs, sans ma Meute, non, je ne pourrais jamais… De nombreuses Meutes, en entendant mon chant, m’ont proposé de me joindre à eux… Je ne pourrais oublier mes amis, et donc, à toutes, je leur ai répondu que je ne serais qu’un poids mort pour la Meute, que plus jamais mon chant ne redeviendrais joyeux, et qu’il valait donc mieux pour moi comme pour eux que je reste seule… Ainsi, ma seule amie est la solitude. Que dire d’autres sur ces dix-huit lunes qui sont passées ? Ah, oui. Ma haine envers les Humains est toujours intense. Je suis retournée à l’endroit où se tenait ma plaine natale. Au lieu de tas de cendres éparpillées par le vent, réduites en poussière grise par la pluie, je me retrouvai devant des bâtiments carrés. Encore ces Humains… Ne cesseront-ils donc jamais de détruire mon passé ? Si non… Hmm… J’ai développer mes muscles, à force de courir en suivant un gémissement, en jouant avec lui : le vent. Parfois, lorsque je le veux et qu’il n’y a pas de vent, une bise se met à souffler. Je n’ai jamais cherché à comprendre.
Oh, peut-être voulez-vous connaître cette ironie que le sort m’a réservée ? Nous y arrivons, tout doucement. Oui, elle est proche. Peut-être devrais-je ignorer les lunes passées en cachette sur un navire humain, pour changer d’île ? Oui, je crois que ça vaut mieux. C’est plus prudent. J’ai cru que j’allais exploser. Oui, bon, il m’est inutile de vous donner plus de détail. Oh, oui. J’ai renié mes sentiments.
Passons tout cela, et entamons la dernière épreuve de ma vie de louve… Oui. Vous comprendrez plus tard.
J’étais dans la forêt, je me baladais, sans vraiment de but, comme toujours. Puis soudain, le vent me rapporta un profond gémissement. Mon instinct me poussa à courir dans cette direction. Là, un Humain. Et il était en train de se faire tuer. Par une créature. Je ne sais pas ce que c’est. Je ne sais pas pourquoi j’ai fait ça. Mais j’ai sauté à la gorge du monstre… Qui m’intercepta avec son avant bras. Je ne grognais pas, non. J’étais silencieuse. Comme si tout devait se dérouler dans le silence le plus parfait, comme pour ajouter de la tragédie à la scène, ou comme pour lui rajouter du comique. J’arrachai un lambeau de chair de son bras, que je m’empressai de recracher. Sa chair avait un goût immonde ! Immangeable, ce truc là ! Tant pis, je livrerai ce corps aux rapaces. Eux peut-être aimeraient la chair de ce… monstre. D’ailleurs, celui-ci m’envoya balader. Je me relevai, ignorant la douleur de l’impact. LA douleur faisait partit de moi. Elle faisait partit de ma vie. Quotidiennement. Je bondis de nouveau sur le monstre, mais cette fois-ci, j’utilisai les griffes pour lui labourer le torse. Seule une infime part de mes attaques l’atteignirent. Ce fut à mon tour d’être blessée. Je récoltai une longue balafre de chaque côté de ma colonne vertébrale. Encore une fois, j’acceptai la douleur. Comme ça, je me récoltai de nombreuses blessures, souvent superficielles. Puis, dans un élan que je n’aurais pas dû avoir, je sautai à la gorge du monstre… Et lui arracha par la même occasion la moitié du cou. Je tomba, presque inconsciente, mais en ayant vaincu le monstre. Si ma Meute avait été là, ils m’en auraient voulu d’avoir pris ces risques. Un groupe d’humain arriva. Je ne sais pas ce qui c’est passé, mais un peu avant, j’ai entendu ceci : « Râââh, Louve, soit maudite, puisses-tu mourir ! »
Les Humains étaient là. Celui que j’avais sauvé était, lui aussi, presque mort. Alors que j’allais rendre mon dernier souffle, la voix de l’humain, qui était dans une position ventral, allongé de tout son long, une main au sol, une autre tendue vers moi, il cria.

« Non, ne meurs pas, jeune Louve Blanche !!! Tu dois vivre, longtemps, encore longtemps, toi qui sais parler au Vent !! »

Ce qui se passa ? Aucune idée. Ah, vous ne connaissez toujours pas l’ironie de mon destin, eh bien, la voici : moi qui déteste les Humains, j’en ai « sauvé » un, et celui-ci m’a donné sa vie ! Et en plus, maintenant, je ne suis plus une louve, mais une humaine. Même si j’ai conservé ma queue et mes oreilles de louve… Ainsi que les sens qui vont avec.

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Bien plus tard, je me réveillai. Qui étais-je ? Où étais-je ? Qu’étais-je ? Que m’étais-t-il arriver ? Je n’en ai aucune idée. Mon corps entier était douloureux, et j’avais beau cherché, je ne me rappelais de rien. Pas un mot, pas un nom à quoi me raccrocher. Le vide total. Je me rendormis, volontairement cette fois-ci. Et je fis un rêve. Un rêve étrange. Je suis dans une clairière enflammée. Un louveteau blanc hurle. Une louve, du moins je présume, est là aussi. La louve prend le louveteau et se précipite vers... On dirait une rivière. Voyant qu’elle n’aurait pas le temps de l’atteindre, elle lança le louveteau qui atterrit dans la rivière. Puis, une barrière de feu s’élève et sépare les deux loups…. A moins que ce ne soient des gros chiens, je ne sais pas. Puis, noir total. Je me réveillai, et me leva. J’étais sur quelque chose de plutôt moelleux… Tout mon corps me paraissait étranger, bien que je ne pouvais que supposer que j’ai toujours vécu dedans. Il y a des habits, là. Hmmm… Des habits ? Je ne sais pas pourquoi. Mais je le sais. Ce sont des habits, là, et je suis dans un lit. Je me vêtis rapidement et je sortis, silencieuse. Si quelqu’un observe plus attentivement ma démarche, aussi souple que silencieuse, il pourrait reconnaître celle d’un loup… Sauf que moi, je ne le sais pas. Dehors, la Lune est là, bien haute dans le ciel. LE vent soufflait. Je me dirigea vers une colline, et leva la tête. Un chant me vint en tête. Je ne le chantais pas. Pas encore. Bientôt, peut-être.

- … Qui suis-je ? Je ne sais pas.
*Te revoilà enfin. Je t’avais dis que nous nous reverrions.*

Trois choses me vinrent soudainement à l’esprit. Yume no Hikari. Tsukiyo. Je suis Yumikari Tsukiyo. Enfin quelque chose à quoi me raccrocher.

- Qui es-tu ?
*Je suis… Le Vent.*
- … Kaze ?
*Oui, c’est cela.*
- Pourquoi me parles-tu, à moi, et pas à quelqu’un d’autre ?
*Parce que seule toi arrive à comprendre mes gémissements et à parler avec eux.*

Soudain, je les entendis. Le rire cristallin de l’eau qui s’écoule, le murmure du feu qui dévore, le hurlement déchirant de la foudre, le gémissement éternel du vent, et bien d’autres choses encore. Puis, quelqu’un arriva.

- Tu étais donc là, jeune fille…
- Pourquoi me cherchais-tu ?
- Eh bien… On t’as trouvée inconsciente, et qui plus est, blessée.
- Alors pourquoi m’avoir soignée ?
- Parce que la brume t’entourais, montrant ainsi que tu maîtrise un élément, ou du moins que tu peux le maîtriser : le vent.
- Je ne suis rien, pourtant, à tes yeux. Non ?
- Chaque vie à son importance… Mais qui es-tu ?
- … Yumikari Tsukiyo. Et où sommes-nous ?
- A Quadra Elements.

Je pourrais vous narrer la suite, mais ce serait bien inutile. Enfin, voilà. Ce que je sais de mon passé ? Eh bien, en fait, mes premiers souvenirs remontent à quand je me suis réveillée dans ce lit…. Le reste est assez aisé à deviner. N’ayant nulle part où aller, je suis restée à Quadra Elements en attendant la rentrée, là où j’apprendrais à maîtriser le vent. Je ne préfère dire à personne que le vent me parle….

Très belle présentation... (Histoire très longue... Rolling Eyes

) mais très belle histoire...
Je t'accordde mon accord, mais il faut attendre après celle de Iliezabell...

Très belle présentation. Mais j'aimerais que tu change ton avatar.... Elle n'a que dix ans et sur ton avatar, ton personne est trop vieille. Avertie lorsque cela va être fait et tu seras acceptée.

Voilà, c'est fait ^^

Et y'a plutôt intérêt à ce qu'elle soit bien, ma prez' *sort sa poële* J'ai passé grand minimum 5h dessus, alors celui auquel ça plair pas *lance un regard accusateur à l'entourage*
Nan, je dec' x) Par contre j'ai passer un moment dessus x)

parfait... bienvenue à la quadra